Poème minute pour l’Hôtel Mercure de Nevers (58)

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Poème minute du concert du 15 août 2012, à Nevers, dans la Nièvre.

Mon très cher Mercure,

J’espère que ce soir, est monté la température.

De mon côté, tes cordes, ton métal que je sais si rares (concert avec piano à queue).

Tes cordes, ton métal, ton piano à queue m’ont donné chaud (année caniculaire).

Chaud par ta proximité au soleil, Mercure (rappel : Mercure est la planète la plus proche du soleil).

Au plus près du coeur.

Vous mes amis, parmi la verdure.

Et pourtant, on dit qu’il n’y a pas de vie sur toi, Mercure.

Et pourtant, la Loire. Partout ; la verdure.

Comme un Dieu, un mythe.

Ce n’est pas la première fois que je t’approche, Mercure (j’avais déjà fait des fêtes avec des amis à l’hôtel Mercure…).

J’étais déjà venu, ici ; en voiture.

Oh rage, Oh Désespoir, si mes allers, mes aventures,

Devant vous ne perdurent.
Sur Mercure, ce mercredi,

Suite à ma cure (enfin plutôt mes vacances).