Poème minute du concert du 18 août 2012, à Bois, dans le Loir-et-Cher.
Blois, des fois, je pense à Troyes,
Mais surtout ne crois pas,
Que je n’aie point d’émoi pour toi.
Blois, toi mon toit. Blois, toi mon tout mon roi.
« Les papillons de ma jeunesse »
Et comme dit si bien François :
« Cette soirée-là »
Elle est pour toi et pas pour Troyes ni même Détroit.
Est-ce que tu vois ?
Ton Louis XII, en 2012.
Ta place, comme un palace.
Ta chaleur dans mon coeur.
Et vous à Blois, vous m’avez eu.
Pour moi venant tout droit de la ville d’Hiroshima, Mon amour.
Blois, j’ai de quoi rester quoi.
Mais tout en restant moi.
Certes un peu maladroit,
Ce poème est pour toi Blois.
Ce mot « aime », entends-moi,
Vois Blois comme ce déploit tes rois.
De ma voix à ton bois.
D’être venu jusqu’à moi ; Gens de Blois,
Vous qui vous voilà.
Si je pense encore à Troyes ou à Détroit,
C’est bien toi que je remercie : Blois !