Poème minute du concert du 15 août 2012, à Nevers, dans la Nièvre.
Mon très cher Mercure,
J’espère que ce soir, est monté la température.
De mon côté, tes cordes, ton métal que je sais si rares (concert avec piano à queue).
Tes cordes, ton métal, ton piano à queue m’ont donné chaud (année caniculaire).
Chaud par ta proximité au soleil, Mercure (rappel : Mercure est la planète la plus proche du soleil).
Au plus près du coeur.
Vous mes amis, parmi la verdure.
Et pourtant, on dit qu’il n’y a pas de vie sur toi, Mercure.
Et pourtant, la Loire. Partout ; la verdure.
Comme un Dieu, un mythe.
Ce n’est pas la première fois que je t’approche, Mercure (j’avais déjà fait des fêtes avec des amis à l’hôtel Mercure…).
J’étais déjà venu, ici ; en voiture.
Oh rage, Oh Désespoir, si mes allers, mes aventures,
Devant vous ne perdurent.
Sur Mercure, ce mercredi,
Suite à ma cure (enfin plutôt mes vacances).