Poème minute du concert du 1er août 2012, à Saint-Benin-d’Azy, dans la Nièvre.
Très cher Benin,
Très cher Saint,
Très cher Azy,
Tu n’es pas anodin,
Et loin d’être vilain,
Tu es près d’Anlezy (mon village d’enfance),
Je ne sais plus combien,
Je ne sais plus très bien,
Combien de fois les chemins,
M’ont mené ici,
Pourquoi te dit-on Saint ?
Pourquoi on n’me dit rien ?
Quand je demande en vain
Mais qui donc est Benin ?
Mais où est donc Azy
Tu serais gallo-romain,
Me dit l’encyclopédie,
Le temp des princesses n’est pas si loin
Pour ta Rosa,
Pour ton Bonheur,
Pour ses dessins,
Pour cette chaleur,
Mon très cher Benin,
Quand à ton public ici
Il est fait de mes voisins,
Il est fait de mes amis
Certes ce poème est enfantin,
Mais sincère et sur ce, il se finit :
« D’être venu jusqu’ici »
Je vous remercie
Liz Van Deuq