Poème minute du concert du 9 mars 2013, à la Maison de Bégon de Blois, dans le Loir-et-Cher.
J’aurai dû être bègue, amis de Bégon,Le jour où j’écrivis ton nom
Non pas « Bégon », mais « Baygon »
Avant de voir qui est Bégon,
Je bégayais ta définition, Pardon Bégon
Dès fois, brise mes plombs,
Quand je sors de mes gonds,
Qu’importe « quand dira-t-on »
Bégon, pour ce 8 mars,
Ce poème-bégonias
Écrit là pour toi.
Maison de Bégon, Te voilà qui déménage
Dans un nouvel espace.
Tu pourrais te dire que je ne mêle pas
De mes oignons.
C’est parce que pour toi, j’ai de l’affection,
Mon mignon Bégon, tu m’as tant foudroyé,
Et si je suis l’insecte qui tourne autour de toi,
Pour toi Bégon, Vois ici mon béguin,
Tu m’as attiré jusqu’à toi,
Tu m’as foudroyé,
Merci pour ton invitation,
Pardon pour mes approximations,
Merci Bégon