Poème minute du concert du 1er juillet 2013, à Le Poinçonnet, dans l’Indre.
Le Poinçonnet, merci de m’inviter à faire sonner mes sonnets,
Le Poinçonnet, des Magnolias. Au Poinçonnet, des Lilas.
Oh Poinçonnet, entends ma voix. Oh Poinçonnet, les matines,
De ton poing sonne la fête, la Musique,
Le Poinçonnet, à la technique, m’aide Médérick.
Le Poinçonnet, ton son résonne grâce à Romain,
Le Point lumineux, c’est Jack, c’est pas rien.
Sonne mon poing, car si le silence s’élance,
Sur le poing sonneur,
La musique meurt,
Si ne pointe aucun bruit,
Point de ce vendredi,
Poursuit donc avec soin tes résonnances.
Tous tes sonnets sonneurs sont à ton honneur.
Du tapage, des bruitages, mais sans pointage et sans pointe.
Des points qui tapent mais sans cogner, Poinçonnet.
Résonne encore sans poing brutal.
Résonne encore sans point final.
Je t’espère fidèle, oui toi l’Asphodèle.